(inapoi cap. Opinii)

( inapoi p.1-a)  

CONTINUARE

 
 


Les métaux lourds et leurs effets sur la santé

 

 PARTEA II-A

 

Voici maintenant une étude qui m’a fortement impressionné. Elle montre que l’utilisation conjointe de la chlorella et de la coriandre, lors de tumeurs au cerveau, permet au patient de vivre plus longtemps ou de guérir et en tout cas d’avoir une mort beaucoup plus douce. J’ai connu des succès inespérés lors de l’utilisation associée de ces deux substances dans le traitement des tumeurs du cerveau, traitement durant lequel mes patients ne souffraient pas davantage que lors d’un rhume.

Certains confrères, qui avaient prescrit la chlorella et la coriandre à leurs patients furent étonnés de ne pas trouver de traces de mercure dans l’urine. Certains prétendirent alors que le traitement ne fonctionnait pas. Pourtant chaque étude faite à ce sujet montre que, lorsqu’un chélateur est administré, peu importe d’ailleurs lequel, on trouve vingt fois plus de métaux lourds dans les selles que dans l’urine. Lors d’empoisonnement aux métaux lourds, les reins sont endommagés. Les métaux lourds ne sont plus filtrés correctement. On ne peut donc prouver l’efficacité d’un chélateur en analysant l’urine, on doit analyser les selles.

(Malheureusement très peu de laboratoire font ces analyses, il n’y en a pas encore en Suisse).

Chez les patients prenant de la chlorella et ayant, en moyenne, 12 amalgames, on trouve environ 50 mgrammes de mercure par kilo de selles. Le fils d’un ami, hyperactif, âgé de six ans, n’avait aucun amalgame. Je lui prescrivis de la chlorella, à raison de six comprimés par jour. Lors des analyses des selles, on a trouvé 50 mgrammes de mercure par kilo de selles. Le mercure venait de sa mère. Il faut relever que, parallèlement à la chlorella, il prenait de la coriandre. Il fut guéri de son hyperactivité après six mois.

On a découvert que la chlorella et l’ail nettoient les vaisseaux sanguins. Le mercure, ainsi mobilisé, est emmené dans les intestins. Là, il se lie à la membrane de la chlorella qui est en "attente" dans l’intestin. Ce sont les polysaccharides qui se lient fortement au mercure. La chlorella a aussi la propriété de mobiliser le mercure dans les tissus non nerveux. Ainsi, la chélation se déroule comme suit :

La chlorella mobilise le mercure dans les cellules non nerveuses. Le métal passe ensuite dans le sang qui le conduit à l’intestin. Il est ensuite évacué du corps.

Cela signifie qu’avec seulement deux substances, nous avons fait un pas décisif dans le processus de désintoxication.

 

Une étude, faite en Chine, montre la chose suivante : lorsqu’une personne prend tous les jours de la chlorella en quantité moyenne, on ne décèle plus de trace de métaux lourds dans ses cellules.

Malheureusement, certains malades sont si gravement intoxiqués, que ce procédé n’est pas assez puissant pour les guérir. Cela durerait environ vingt ans.

 

(Le conférencier projette un document)

 

Voici le cas d’une célèbre chanteuse rock. Elle était malade depuis deux ans lorsqu’elle me contacta la première fois par téléphone. Je lui conseillai alors un traitement avec les trois substances déjà énumérées : chlorella, coriandre et ail des ours. Cinq mois plus tard, je lui fis une injection de DMPS. Le DMPS est un chélateur créé en URSS pour soigner les mineurs intoxiqués par les métaux lourds. Lors de la catastrophe de Tschernobyl, les patients reçurent du DMPS à raison de deux injections hebdomadaires. Les personnes ainsi traitées ont eu la chance d’éviter une dégénérescence de la moelle épinière. Le DMPS a en effet la propriété d’évacuer rapidement plusieurs sortes de métaux.

Nous savons maintenant que, à chaque injection, le DMPS fait sortir des quantités impressionnantes de métaux lourds.

 (Le conférencier s’adresse à ses auditeurs)

Qui, parmi vous, a déjà travaillé avec le DMPS ? Quelle serait une quantité réjouissante d’évacuation de métaux lourds ? 500 mgrammes seraient déjà un bon résultat.

(Il montre les résultats du traitement effectué sur la chanteuse rock)

2700 mgrammes. Jusqu’ici, on n’avait jamais noté une telle valeur. Pour arriver à ce résultat, Il

est impératif de commencer avec une cure de chlorella et de coriandre. Des valeurs gigantesques peuvent être mobilisées chez les personnes gravement intoxiquées. Deux semaine plus tard, on a mesuré 2900 mgrammes. La patiente était très éprouvée. Alors, impressionné par de telles quantités, je me suis demandé comment j’allais continuer. Je me suis alors rappelé qu’a Tschernobyl, on avait fait deux injections par semaine aux patients.

C’est ce traitement que j’ai appliqué à ma patiente.

Le traitement au DMPS avait débuté le 6 février. Le 3 avril, nous sommes descendus à 1500 mgrammes. Nous avions donc évacué environ 30-40 mg de son corps. Lorsque la valeur tomba à 370 mgrammes, elle arriva pour la première fois en souriant à la consultation. Pour cette patiente, ce fut un combat, un combat entre la vie et la mort. Lors de notre premier contact téléphonique, elle m’avait annonçé avoir plusieurs tumeurs mammaires. De plus, on soupçonnait la présence d’autres tumeurs dans son bassin. Après quatre mois de traitement au DMPS, tout avait disparu.

Encore une chose : les patients fortement intoxiqués sont des personnes désagréables pour le

thérapeute. Ces patients sont peu reconnaissants, ne veulent plus partir lors des consultations,

on doit presque les pousser dehors. Il faut savoir que le mercure affecte fortement la personnalité psychique du malade. Je devais vous le dire, si vous pensez appliquer mon traitement. J’ai pu faire l’observation suivante : moins on peut supporter l’attitude d’un patient, plus il est atteint par la maladie.

Quand plus rien ne sort de l’urine, on sait que les tissus conjonctifs sont désintoxiqués. Il s’agit

alors de s’occuper du cerveau. Il existe une substance, le DMSA, originaire de Chine, qui est un chélateur oral. Cette substance désintoxique presque aussi bien que le DMPS. Elle s’attaque aussi aux métaux lourds présents dans le cerveau. On doit l’utiliser seulement en fin de traitement. Cependant elle ne fonctionne de loin pas aussi bien que la coriandre.

A présent quelques mots à propos de cette fameuse coriandre. Mon ami japonais de New York, le docteur Yoshiaki Omura qui, dans certains cercles secrets, compte pour être l’un des plus grands génies actuels, a fait une étude sur lui-même et sur des volontaires. Ils se sont injecté du thallium radioactif. Cela  permit de voir où le thallium se déposait dans le cerveau.

Le thallium a une demi-vie de quelques jours, il devrait avoir quitté le corps après quelques semaines. Yoshiaki Omura découvrit que, seulement sur sa personne, le thallium disparaissait dans les 24 heures. Chez les autres volontaires, on en trouvait encore après six semaines. Il s’est alors demandé pourquoi le thallium avait été mobilisé seulement chez lui. Il mit deux ans à trouver la réponse. C’était grâce à sa soupe de poulet à la coriandre. La coriandre est souvent utilisée en cuisine japonaise. Il avait passé en revue tous les éléments de sa nourriture pour arriver à ce résultat. Ce que nous savons à ce jour, est que les substances aromatiques de la coriandre ont la propriété d’ouvrir les canaux ioniques, permettant ainsi aux métaux lourds de sortir.

On venait de franchir une étape très importante, car on n’avait pas encore trouvé de substance

ayant de telles propriétés. On ne doit utiliser la coriandre qu’en fin de traitement, quand on a

déjà évacué une certaine quantité de métaux lourds. A ce stade du traitement, le mercure est

sensiblement plus concentré dans le cerveau que dans le reste du corps. Les symptômes neurologiques du patient nous permettent de déceler cet état.

Certains de mes collègues crurent, à tort, qu’en administrant de la coriandre à leurs patients,

ils trouveraient des traces de métaux lourds dans l’urine. La coriandre ne provoque qu’un

déplacement du mercure dans les tissus conjonctifs. Aucune autre substance ne provoque ce déplacement. Beaucoup de thérapeutes cherchent des traces de mercure dans l’urine après une prescription de coriandre, c’est une erreur. Si nous ajoutons des substances telles que la chlorella, l’ail des ours et le DMPS, les métaux lourds se déplaceront dans les vaisseaux sanguins. C’est seulement à ce stade qu’on peut les détecter dans le sang. Quelqu’un aimerait poser une question ?

 (Un participant lève la main)

 

L’utilisation du DMPS est-elle toujours indispensable ?

Je suis certain que, dans le cas de la chanteuse rock, il n’y avait aucune autre méthode pour la

guérir. On ne peut pas renoncer au DMPS dans les cas graves. Dans le cas d’une intoxication légère à moyenne, on parvient à la guérison avec l’utilisation conjointe de la chlorella, de l’ail des ours et de la coriandre.

Je dois encore ajouter que le système nerveux autonome, qui commande l’ouverture et la fermeture des canaux ioniques, peut fonctionner ou ne pas fonctionner. Des cicatrices, des dents mortes ou des infections dans les os du maxillaire peuvent paralyser le système. Dans ce cas, les cellules ne peuvent pas s’ouvrir. Ce qui nous conduit à combiner la thérapie neurale avec le traitement de désintoxication. Les systèmes psychiques et limbiques sont, si nous établissons une hiérarchie, situés au-dessus du système nerveux autonome. Il arrive que des problèmes personnels psychiques non résolus bloquent l’ouverture des cellules, empêchant ainsi la désintoxication. Nous travaillons aussi avec des psycho-kinésiologues. Je me suis personnellement spécialisé en kinésiologie. Nous avons besoin d’un traitement psycho-kinésiologique bien ciblé sur le conflit qui bloque le système nerveux autonome. Il faut trouver quels sont les problèmes du patient afin de pouvoir rapidement les résoudre. Ceci va nous permettre de débloquer les membranes cellulaires qui retiennent le mercure. Souvent, après une séance d’une heure environ, on arrive à résoudre le conflit.

J’ai fait appel à ces trois thérapies, désintoxication au DMPS, thérapie neurale et kinésiologie,

pour parvenir à guérir cette patiente.

 

Il y a, parmi vous, certaines personnes qui pensent pouvoir arriver aux mêmes résultats avec

l’homéopathie. Je ne dis pas que c’est impossible, mais seuls des homéopathes hautement qualifiés pourraient y arriver. On peut, en effet, mobiliser le mercure avec du Mercurius Solubilis, mais pas l’évacuer. Lors de l’administration du Mercurius Solubilis, on amène une partie du mercure dans l’urine, une autre dans les selles et une troisième dans le cerveau. J’ai pu observer plus de cas de sclérose  après des traitements homéopathiques qu’après n’importe quelle autre sorte de thérapie, aussi après des traitements par biorésonnance. Notre traitement est plus sûr que l’homéopathie.

 

J’ai cependant eu connaissance de bons résultats avec l’homéopathie classique. Si le thérapeute se base sur les symptômes du patient empoisonné au mercure, qu’il lui administre du Pulsatilla ou du Sulfur ou encore des médicaments constitutionnels exactement dosés, il peut parvenir à ses fins. J’en ai vu personnellement quelques-uns, mais seulement trois ou quatre à travers le monde. C’est possible, mais c’est pas simple. Si les malades moyennement intoxiqués combinent le traitement homéopathique avec la chlorella et la coriandre, ils augmentent le degré de sécurité du traitement homéopathique.

 

Quelles méthodes sont à notre disposition pour détecter une intoxication aux métaux lourds ?

 

 -->    Une première méthode consiste à observer les symptômes cliniques et les soupçons

  cliniques dans les examens neurologiques. Certains indices peuvent nous indiquer que

  le patient souffre d’intoxication.

 

 -->    La deuxième, qui me fait sourire, se base sur l’analyse des cheveux. Nous savons que  si nous trouvons du mercure dans les cheveux, le mercure a dû d’abord passer dans le   sang. C’est le seul chemin possible. Les malades qui ont du mercure dans les cheveux   en ont obligatoirement dans le sang. Ce sont des patients qu’il est relativement facile à   guérir. Il leur suffit de prendre de la chlorella pour que le mercure soit évacué par les   intestins. On ne peut pas trouver de mercure dans le sang des personnes gravement   intoxiquées,  le mercure est  fortement fixé dans les cellules nerveuses. Ce qui n’apparaît  pas dans le sang n’apparaîtra pas dans les cheveux, pas plus que dans l’urine ou les selles.

            Ce qui signifie que si on ne trouve pas de mercure dans les cheveux, le sang, l’urine et les   selles, nous avons affaire à de vrais malades intoxiqués par les métaux lourds. La plupart des scientifiques, pourtant sérieux, ne le comprennent pas.

 

 -->    la troisième consiste à essayer de mobiliser le mercure avec le DMPS, puis d’analyser   l’urine. Par ailleurs, il serait utile de savoir ce qui se trouvait dans l’urine avant le traitement au DMPS. Et la plupart du temps que trouvons-nous alors dans l’urine ? Rien ! Pas plus non plus dans le sang et les selles. Dans ce cas, le mercure est concentré soit dans des tumeurs, soit dans les tissus nerveux, soit dans les deux. La mobilisation du mercure se fait avec la chlorella. Le patient prend entre vingt et quarante comprimés de chlorella et, seulement après, nous analysons les selles.

Malheureusement, on ne trouve généralement qu’un laboratoire par pays capable de faire cette sorte d’analyse, et encore. C’est dû au fait que ces laboratoires appartiennent en général à l’Etat.  Les scientifiques, pas plus que le peuple, n’ont accès à ces laboratoires. Si vous voulez en trouver un en Suisse, je vous souhaite bonne chance !

Du côté du diagnostic il nous reste une seule possibilité, elle consiste à essayer de mobiliser le

mercure soit avec le DMPS ou le DMSA. Ensuite on recueille l’urine durant 6 heures. On n’a aucune substance naturelle permettant au mercure de passer dans l’urine. Ceci pour une bonne raison. Les reins sont les organes les plus stressés lors d’une intoxication au mercure. Il n’existe aucune substance naturelle, dans l’état actuel de nos connaissances, qui fasse passer les métaux lourds dans l’urine. Tous les produits naturels les font passer dans les intestins. Si nous n'avons que des laboratoires capables d’analyser l’urine, nous devons passer par les produits chimiques tels que le DMPS ou le DMSA. Cela signifie que l’on restreint les possibilités de diagnostic.

Il existe aussi des possibilités de détection à l’aide d’appareils coûteux et compliqués, le scanner à résonance magnétique nucléaire en est un. Avec de tels appareils, on peut trouver du mercure dans le cerveau et dans le corps. Le fonctionnement de ces appareils se base sur l’émission de certains rayons spectraux. Le Dr Omura et moi-même avons collaboré étroitement. En ce qui me concerne, je m’étais formé dans l’électro-acuponcture. Le Dr Omura est un scientifique. Nous avons tous les deux découvert que la méthode des tests musculaires (kinésiologie) est le moyen le plus sûr, le plus rapide et le moins coûteux de déceler la présence de métaux lourds dans le corps. Cette méthode nous permet aussi de déterminer une bonne façon de l’évacuer. Nous possédons assez de connaissances scientifiques pour affirmer que la kinésiologie, allant dans la même direction que la science, atteint des résultats reproductibles.

Une femme, âgée de 65 ans, vint me consulter. Elle souffrait d’une artérite temporale et d’une

dystrophie musculaire. Depuis trente ans, elle ne pouvait se déplacer autrement qu’en chaise roulante. En fait, elle était venue me consulter pour tenter de soigner son artérite temporale,

très douloureuse. J’ai pu détecter une présence massive de mercure. A la suite de mon traitement, elle pouvait marcher seule sur une distance de deux cents mètres. Elle avait beaucoup rajeuni. Ce fut miraculeux, scientifiquement parlant. En effet, cette patiente souffrait d’une maladie génétique et, théoriquement, il n’y avait rien à faire. Nous avions démontré qu’avec une désintoxication bien menée, secondée par la kinésiologie, les patients faisaient des progrès étonnants.

Nous avons aussi connu des résultats étonnants avec des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. Chez ces patients-là, il est très important de commencer le traitement le plus tôt

possible.

(Le docteur Klinghardt fait venir une volontaire. Cette dernière se couche sur une table. Le

docteur a encore besoin d’une assistante. Il prépare plusieurs flacons contenant divers

produits qu’il testera sur la personne couchée)

La présence d’une assistante me permettra d’effectuer ce que je pourrais appeler la méthode

du test indirect. Je sais que, pour certains, la kinésiologie peut paraître comme quelque chose

de magique. Le docteur Omura a pu détecter, en utilisant cette méthode, et avec une très grande précision, la présence de tumeurs, leur dimension, leur emplacement, leur degré d’avancement. La kinésiologie permet aussi de détecter avec précision où se trouvent les reins, l’intestin grêle, le colon, où se trouve l’appendice avant une opération. Le Dr Omura a fait une centaine d’études qui toutes démontrent que ce test est absolument fiable.

 

(Il demande à la patiente couchée de remonter sa blouse afin de mettre son nombril à nu.

L’assistante prend d’une part la main de la patiente dans la sienne, d’autre part elle tend l’autre

bras afin que le Dr Klinghardt puisse effectuer ses tests musculaires)

Nous allons à présent travailler avec ce qu’on appelle le phénomène de résonance.

(Il teste le bras de l’assistante)

Je peux constater une régulation bloquée. Maintenant, je vais tester certaines substances, en les posant sur son nombril, afin d’en trouver une qui "débloque" ma patiente. Grâce au bras de mon assistante, je pourrai immédiatement déterminer quels produits la perturbent. Je pose du DMPS. Cela ne la débloque pas. Maintenant de la chlorella. Cette substance "débloque" ma patiente. Essayons de poser un thermomètre médical au mercure sur son nombril. Le bras de mon assistante fléchit, cela signifie que ma patiente entre en résonnance avec le mercure. Le seul point commun entre le mercure et la chlorella est que l’un est un poison, l’autre un contrepoison. Je pose de nouveau le flacon de chlorella sur le ventre de ma patiente et j’effectue quelques prétests.

(Il teste le bras de l’assistante de la main droite. Il déplace la main gauche sur différents

endroits du corps de la patiente)

En déplaçant ma main sur différents endroits du corps, je teste quels organes envoient un signal de stress. J’ai une réponse de la rate et du rein droit. Je pose à présent le thermomètre sur la patiente et je regarde s’il y a une présence de mercure dans le rein droit. Le bras de mon assistante répond par l’affirmative. Je le montre encore une fois.

(Il enlève le thermomètre du ventre de la patiente)

On peut observer que lorsque je pose ma main sur le rein droit, ce dernier envoie un signal de

stress. En effet, le bras de mon assistante n’oppose plus de résistance. Cela m’indique que quelque chose ne fonctionne pas bien dans cet organe.

(Un autre test montre que la patiente devrait boire de l’eau, cela aiderait son rein)

Je teste à présent un produit bon pour le rein, il s’agit de l’ail des ours. Si je pose le

thermomètre, le test change. Cela m’indique que le rein est affecté par le mercure.

Les résultats que j’ai obtenus sont comparables à ceux que j’aurais pu obtenir avec l’acuponcture et les tests de kinésiologie classique. Le Dr Omura a trouvé un autre phénomène de résonance en faisant des travaux de recherche très pointus. Il a découvert l’existence d’un phénomène de résonance directe, que l’on peut tester. La loi de résonance directe dit la chose suivante : lorsqu’on pose une substance sur la peau du patient et que cette même substance est déposée dans un de ses organes, le tonus du muscle change. De fort, il devient faible. Je vais vous le démontrer. Je soupçonne la présence de mercure dans le cerveau de cette patiente. Je vous rappelle que l’organe le plus difficile à "nettoyer" est le cerveau.

Si je pose ma main sur son crâne, je ne décèle pas de stress. Cette façon de tester le muscle

du bras de mon assistante, l’électro-acuponcture aussi, ne testent que ce qui est en contact

avec le système nerveux autonome. Souvenez-vous du schéma des tissus conjonctifs et des vaisseaux sanguins, il montrait que le système nerveux autonome est situé hors des cellules nerveuses. Il est en contact avec elles, mais il n’y pénètre pas. Cela signifie qu’avec ces tests, nous ne détectons que des stress extracellulaires. Je peux affirmer avec certitude qu’il n’y a pas de mercure, en tout cas pas hors des cellules nerveuses. S’il y en avait, je le ressentirais au travers du bras de mon assistante. Par contre, si je fais un test en posant ma main sur le rein droit, le muscle du bras de mon assistante devient faible. Cela signifie qu’il y a du mercure dans cette région, mais de façon extracellulaire. A présent, je vais regarder si cette patiente a du mercure dans le cerveau, plus exactement dans les cellules du cerveau. Pour ce faire, je pose mon thermomètre directement sur le crâne de la patiente. Si une substance est en contact avec la peau, et que cette substance se trouve aussi à cet endroit dans le corps, il y aura un changement du test musculaire.

(Le Dr Klinghardt pose le thermomètre sur différents endroits du crâne de la patiente)

Je vois que la partie émotionnelle de son cerveau, le lobe frontal, est sans mercure. En effet, le bras de mon assistante résiste. Par contre, lorsque je pose le thermomètre sur le lobe pariétal gauche, le bras de mon assistante fléchit. Je peux maintenant vous affirmer que des dépôts de mercure se trouvent dans cet endroit.

(Il n’en détecte pas dans le lobe pariétal droit)

J’en trouve aussi, relativement beaucoup, dans la région du cervelet ainsi que dans le lobe

occipital. Que pouvons-nous faire ? Quelle substance peut faire sortir le mercure des cellules ?

La coriandre. Je vais vous expliquer, le Dr Omura l’a également fait, pourquoi beaucoup de gens croient que cela ne fonctionne pas.

(La patiente avale quelques gouttes de coriandre)

Normalement, on devrait attendre quelques minutes.

(Il pose le thermomètre sur le lobe occipital de la patiente. Le test n’est pas différent)

Le système nerveux autonome fonctionne comme une "porte" électrique. Les parois des cellules sont comparables à des portes électriques. Le système nerveux autonome tient le verrou de la porte fermé. Il ne veut pas laisser sortir le mercure. La coriandre aurait tendance à ouvrir quelques portes et à emporter un peu de mercure. Mais le mercure ne peut pas vraiment sortir des cellules tant que le système nerveux autonome ne lui en a pas donné l’ordre.

Il a fallu quatre ans de travail au Dr Omura pour trouver une manière toute simple d’ouvrir ces

" portes ". Il suffit d’activer les zones réflexes correspondant aux organes concernés. Et nous

savons où se trouvent ces zones.

(Il projette un schéma des zones réflexes de la main)

Nous pouvons voir que la zone correspondant au lobe occipital se situe sur l’extrémité du doigt

médian.

Je renouvelle mon test kinésiologique. Je constate que le mercure n’est toujours pas sorti des

cellules. Massons maintenant les zones réflexes durant deux minutes. Nous avons, le Dr Omura et moi-même, fait ce test avec des matériaux radioactifs et, à l’aide du scanner, nous avons pu voir le déplacement du métal. Je vous rends attentifs au fait que la carte actuellement projetée n’est pas la même que celle utilisée par votre thérapeute habituel. En effet, la carte originale date d’environ 6000 ans, et elle a été tellement copiée et recopiée, sans véritable vérification, que certaines d’entre elles sont inexactes. Je suis en mesure de vous affirmer que la carte projetée ce soir a été vérifiée de multiples façons et qu’elle est exacte.

On a constaté qu’avec l’activation, à l’aide de médicaments, des zones réflexes des organes que l’on veut traiter, on en augmente très nettement l’efficacité.

(Il teste, avec le thermomètre, le lobe occipital de la patiente. Cette fois le test indique la

présence de mercure)

Qu’avons-nous fait ? Nous avons déplacé de petites quantités de mercure hors des cellules.

Où se trouve-t-il à cet instant ? Vraisemblablement dans les tissus environnants ou dans le sang. Cherchons  il se trouve exactement.

(Il pose la main sur la tête de la patiente. Le bras de l’assistante lui indique que les tissus situés au haut de la tête sont stressés. Du mercure a été relâché par les cellules du cerveau)

Que pouvons-nous faire à présent ? Nous allons tester l’effet d’une substance susceptible de

nettoyer les tissus environnants afin de faire passer le mercure dans le sang. Cette substance

est l’ail des ours.

(Il pose un flacon contenant de l’ail des ours sur le ventre de la patiente)

Nous avons une très belle résonance avec cette substance.

(La patiente en avale quelques gouttes. Lui-même en avale aussi)

Quand on en connaît l’effet bénéfique pour la santé, il serait idiot de rater une occasion d’en

avaler.

(Il teste de nouveau le crâne de la patiente)

Cette fois-ci, nous pouvons voir que le mercure a été évacué des tissus de la zone crânienne.

Et maintenant, où peut-il se trouver ?

(Le public répond)

Dans le colon, le foie, les reins.

(L’orateur continue)

Je proposerais de regarder les reins, les poumons, les intestins. Il arrive souvent que les gens

se mettent à tousser dans les trente secondes après la prise de coriandre. Avec un détecteur

de vapeurs de mercure, on a pu mesurer jusqu’à 1000 mgrammes dans l’air expiré. Si le patient se met à tousser, le thérapeute devrait s’éloigner.

Contrôlons les poumons. Je décèle la présence de mercure dans le poumon droit. Ce n’est jamais grave si du mercure se trouve dans cet organe. Il sera exhalé en trente minutes environ. Il n’y a rien à signaler dans l’intestin. Pourquoi ? Parce que de la chlorella est en son contact. Passons aux reins. Rien à signaler, ceci grâce à l’ail des ours.

Si j’effectue le test avec le thermomètre au mercure, je peux confirmer que les intestins et les

reins ne donnent pas de réponse. Par contre, si je teste le foie, là j’ai une réponse. Il y a du

mercure dans les cellules du foie. On pourra le sortir assez facilement avec la chlorella, la

coriandre et l’ail des ours.

(La patiente se plaint d’avoir une pression dans la tête)

C’est normal, cela vient du fait que nous avons déplacé du mercure dans les cellules du cerveau.

(La patiente se lève et rejoint le public)

Malheureusement ce genre de tests n’est pas très répandu, pas non plus dans l’électro-acuponcture. Cela provient du fait que les thérapeutes cherchent du mercure de façon extracellulaire. Il arrive souvent, surtout en électro-acuponcture, que, même si le patient a pris un médicament, les tests se révèlent négatifs. Contrairement à ce que pense le thérapeute, le mercure n’a pas été évacué du corps, il est entré dans les cellules. Il n’est donc plus décelable au moyen de l’électro-acuponcture. A cause de ce phénomène, beaucoup d’erreurs ont été commises, de mauvais traitements de désintoxication appliqués. Les thérapeutes avaient fait bouger le mercure dans le mauvais sens.

Maintenant, quelques directives simples à appliquer :

 -->    Le traitement de fond se fait toujours avec la prise de chlorella. La quantité que je

  recommande en général est de trois fois cinq comprimés par jour pendant les repas.

  Certains patients ne le supportent pas. L’explication est la suivante : des petites

  quantités de chlorella mobilisent plus de mercure qu’elles ne peuvent en évacuer. Cela

  signifie que lorsque l’on prend de la chlorella en petites quantités, on agite le mercure

  dans tout le corps. Dans ce cas, la chlorella se trouve en trop petites quantités pour

  pouvoir évacuer le métal lourd. Les dépôts se font agiter et le mercure circule dans tout

  le corps. C’est pourquoi je recommande d’ingérer, environ tous les dix jours, une dose

  de quarante à cinquante comprimés. J’ai souvent constaté que les patients qui ne

  supportent pas trois à quatre comprimés par repas sont beaucoup plus intoxiqués que

  ceux qui en supportent dix à douze. Nous avons aussi constaté que ces personnes, qui

  ne supportent pas trois à quatre comprimés, se sentent extrêmement bien s’ils en

  prennent soixante. Précisons que soixante comprimés évacuent d’avantage de mercure

  qu’ils n’en mobilisent. En fait, la règle est simple : si quelqu’un ne supporte pas la

  chlorella, on lui en donne davantage.

 

 -->    Passons à l’ail des ours. La quantité que je recommande est de trois fois dix gouttes

  par jour. Notons au passage que l’ail spagirique, tout comme la coriandre spagirique,

  sont moins efficaces sous cette forme. Ils ne deviennent bons qu’en fin de traitement.

 

 -->    En ce qui concerne la coriandre, je recommande la dose prudente de trois fois cinq

  gouttes par jour, toujours immédiatement suivie d’acupressure dans les zones réflexes

  qui concernent le ou les organes que l’on veut détoxiquer. Pour les patients souffrant

  de sclérose en plaques, nous cherchons à sortir le mercure du cerveau, de la moelle

  épinière et aussi du système immunitaire.

 Notons au passage que nous avons fait de bonnes expériences dans le traitement des troubles du rythme cardiaque. Nous avons administré de la coriandre trois fois cinq gouttes par jour, immédiatement suivies d’un massage des zones réflexes concernées. Quarante-huit heures après, la patiente n’avait plus de troubles.

 Nous avons aussi eu du succès dans le traitement des tumeurs du cerveau. Après quelques

semaines de traitement, les tumeurs avaient rétréci de moitié.

 Le minimum que je vous conseille de retenir de cette conférence est que chaque individu devrait prendre de la chlorella et de la coriandre tous les jours.

 Je dois encore signaler ceci : si on est courageux, on peut entreprendre une détoxication qui

sera rapide. Dans ce cas, je prescris des doses élevées de coriandre, trois fois quinze gouttes

par jour. Le patient doit alors accepter le fait d’être beaucoup plus malade.

 Cependant il arrive souvent qu’en prenant 30 - 40 comprimés de chlorella, ils aillent tout de

suite mieux. Au lieu de subir un traitement de quelques mois, ces patients vont beaucoup mieux en deux semaines seulement. Il est important de relever que si on augmente la dose de coriandre, il faut aussi augmenter le prise de chlorella et d’ail.

 Encore une chose : durant cette phase, les patients ont besoin de beaucoup plus de protéines.

 (Le conférencier va continuer en répondant aux questions du public)

    - Quel traitement choisit-on pour les femmes enceintes ?

Dans ce cas, nous nous trouvons en présence d’un dilemme. Faut-il ôter les amalgames de la mère ou les laisser? Mon conseil est le suivant : ne pas les enlever. Par contre, prendre 8-12 comprimés de chlorella par jour, ceci afin d’attraper un peu de mercure qui circule dans le corps de la mère. Il faut aussi accepter le fait que le foetus aura un développement retardé. Sitôt l’enfant né, (il plaisante), je l’attends avec mon injection de DMPS. La mère ne devrait pas ôter ses amalgames durant l’allaitement. Je dis ceci avec une restriction cependant : si votre dentiste sait comment procéder, c’est-à-dire sans projection d’amalgame dans la bouche, et qu’il dispose d’un puissant appareil d’aspiration, vous pouvez le faire durant la grossesseou durant l’allaitement.

En général, vous pouvez être sûr que si vous allez chez votre dentiste habituel et que vous lui demandez d’ôter vos amalgames, ce ne sera pas fait dans les règles de l’art. C’est dangereux de le faire lorsque vous êtes enceinte, lorsque vous allaitez ou encore lorsque vous ne vous sentez pas bien.

Cependant, si je dois malgré tout désintoxiquer une patiente enceinte, je lui donne des doses massives de DMPS, de coriandre et de chlorella. Et le résultat a très souvent été le suivant : les bébés étaient plus grands et en meilleure santé.

Les bébés dont la mère est porteuse d’amalgames naissent avec un système nerveux retardé, un plus petit cerveau et un système immunitaire moins efficace.

- Que faut-il faire si la mère est enceinte depuis huit mois ?

Je conseillerais de prendre vingt comprimés de chlorella par jour. De toute façon, le système nerveux de l’enfant se forme durant les trois premiers mois. S’il devait y avoir des dommages, il serait déjà trop tard. Il ne vaut pas la peine de prendre le risque d’une désintoxication à ce stade. Une fois l’enfant né, je recommande de commencer immédiatement le traitement. Après une année, l’enfant sera comparable aux enfants nés sans contamination. D’autre part, je conseille encore de lui donner des acides gras, ceux que l’on trouve dans l’huile de poissons.

- Quelle sorte de chlorella conseillez-vous ?

Il existe plusieurs sortes de chlorella. Leur valeur thérapeutique dépend de l’endroit où elles ont été récoltées. Je vous conseille d'utiliser celle-ci. (Voir à la dernière page). Pour les bébés, je conseille de mettre de la chlorella sous forme de poudre dans leur alimentation. Différentes analyses démontrent qu’il peut y avoir de grandes différences d’une marque à l’autre.

- Que se passe-t-il si on enlève plusieurs amalgames en même temps ?

Si on en enlève quatre à cinq le même jour, je conseille au patient d’avaler vingt comprimés juste avant la consultation. Juste après, quand les amalgames sont enlevés mais que le dentiste n’a pas encore posé les nouvelles obturations, je conseille de faire un bain de bouche d’une dizaine de minutes avec de la chlorella diluée dans de l’eau. Ensuite, le patient doit soigneusement recracher ce liquide et bien se rincer la bouche. Lorsque le patient sort de chez son dentiste, il devrait  prendre vingt comprimés de chlorella. Il fera de même encore le soir de l’intervention et le lendemain matin.

Le Dr Omura et moi-même conseillons donc, lors de l’extraction d’un amalgame, de faire ce bain de bouche durant quelques minutes. Ceci pour extraire un maximum de métaux lourds des petits canaux de la dentine. Cette façon de faire est formidable car nous n’assistons plus à l’effondrement du patient comme c’était souvent le cas.

Nous avons encore découvert que la chlorella est à même de traiter rapidement les tatouages, dus aux amalgames, souvent situés sur les gencives. Il suffit au patient de mettre de la poudre de chlorella sur des bâtonnets ouatés, ceux que votre dentiste utilise, et de les poser sur les gencives une dizaine de minutes. Si on applique ce traitement deux fois par jour, les tatouages disparaissent rapidement, souvent en deux à trois jours.

Encore une chose : plus un patient est malade, plus il faut être prudent avec le traitement de désintoxication. En effet, le fait de sortir le mercure du corps crée un stress pour ce dernier, augmentant momentanément les symptômes d’intoxication.

Ce traitement est à déconseiller lorsque le patient est au stade terminal d’une maladie grave. Cependant, si l’intoxication est si aigüe que la vie du patient est en danger, nous n’avons plus le choix, rappelez-vous de la star de rock.

En Europe, la plupart des traitements ne sont pas assez agressifs, ce qui leur donne malheureusement une image faussée. Malgré qu’ils aient enlevé leur amalgames, les patients ne vont pas mieux, donc ces traitements ne fonctionnent pas. La science en a profité pour dire que ces intoxications ne pouvaient pas être si graves, puisque les patients n’allaient pas mieux après avoir ôté leurs plombages. Et toute la science regarde dans la mauvaise direction : mycoses, virus, bactéries, stress électromagnétique et autres. Elle se détourne du sujet car on n’a pas bien désintoxiqué les malades. Ma tâche est de vous en faire prendre conscience.

A propos du stress électromagnétique, je peux expliquer ce phénomène comme suit : les multiples dépôts de métaux lourds dans le cerveau agissent comme des micro-antennes. Il nous reste deux possibilités : soit d’arrêter tous les émetteurs d’ondes électromagnétiques, c’est-à-dire de couper l’électricité, les lampes, les téléphones mobiles, la télévision etc., soit nous détruisons les dépôts.

   - Comment faites-vous avec le DMPS pour ne pas enlever les métaux utiles à notre corps ?

Avant la première injection, nous analysons le sang afin de détecter les éléments-traces bénéfiques (fer, magnésium, calcium, cuivre, sélénium, etc). L’analyse du sang après l’injection nous indique quels métaux doivent être administrés au patient.

 

   (Le conférencier remercie le public de son écoute attentive)

 

 

 

Remarques du traducteur.

 

La notation de certaines quantités en mgrammes (millionième de gramme) est volontaire. Ceci

afin de bien la différencier des mg.

 

Quelques adresses utiles:

 

Pour commander de la chlorella, ail des ours et coriandre:

 

SEVA sarl

Les Côteaux J

1261 St-George

Suisse

Tel. / Fax (022) 368.40.03

 

SEVA sarl

463, route du Rosay

74700 Sallanches

France

Tel. / Fax (0)4.50.91.31.19

 

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Sursa: "Homéofrance"

Conversie din pdf si sublinieri: Dr. Ioan Teleianu